Page 25 - Partitions De Leon
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Marirh ou Mererha. signifie « allant». 1) Se place sous la consonne ayant la voyelle tonique.
2) Servant du Tébir, du Zarka, Méouparh,.Tarerha, Sillouk, Térékadmin, Passaek
3)Lorsqu'il y a un mot entre le Sillouk et un disjonctif, le conjonctif est un Marirh .
4) Allongement du son,jusqu'à la venue du nouveau Taham.
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5) On emploie le mari.rh dans une proposition verbale.
Béréchit (1.1) O'W;-J m •.- 1"' ,,. /"'
Mererha Rhéfoula.
Double allongement. se place sous le mot.
1) Remplace le Tébir dans ou devant une monosyllabe. Il est toujours précédé de son
seul subordonné le DARGUA ( N ) $
2) Se chante plus faiblement qu'un Tébir. Béréchit (27.25)
1"" .i1, N::l'i. . - . , ,., ' ' '";' -
Echelle,Degrés,
1) Servant bien souvent le Tébir 2)Servant aussi le Rébia
3) Se place sous le mot qui a la tonique
4) Lorsque il y a 2 syllabes ou plus entre le Dargua et le Tébir, on emploie le Dargua. Sans quoi on emploie le marirh.
Dargua
Béréchit (3.20) l:l'TN:'i Niv"'i
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Méaylia
C'est un conjonctif. Il sert à indiquer le ton secondaire, dans des mots ou groupe de mots qui ont un Sillouk ou un Atnarh.
On trouve parfois des mots munis de deux ou trois accents qui s'accordent ensembles pour régler l'intonation. C'est le dernier qui indique le ton principal. Le premier est euphonique, et il est destiné à contrebalancer le poids de l'accent tonique.
2)VayikraouLévitique(21.6) !:l':!fP 3) Béréchit ou Genèse (8.18) M"'N:''i
4) Bamidbarh (28.20) l:1111il:I
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